Un film sublime que nous n’oublierons pas… Pour un drame que nous n'oublierons plus !
L’histoire en quelques mots : 1943, le sergent Martinez mène ses hommes au combat… Je vous entends déjà soupirer "Encore un de ces énièmes longs-métrages sur la seconde guerre mondiale !" Et vous avez tort…
Ce film de guerre n’est pas comme les autres. Le réalisateur Rachid Bouchareb nous compte l’histoire de la France, celle qui n’est pas inscrite dans les livres scolaires. Sans faux semblant, ni idéalisation, nous suivons ces hommes qui ont traversé une mer pour lutter contre le nazisme et libérer la France, une terre qu’ils ne connaissaient pas : Saïd, Yassir, Messaoud, AbdelKader et les autres enfants des colonies françaises, les indigènes comme on les appelait à l’époque. Comme eux, nous sommes pris dans cet engrenage guerrier. Nous tremblons nous aussi lors de leur premier assaut, premier contact avec un monde de violence et de morts. Les explosions, la terre, le sang, les cris, les canonnades des fusils, une scène d’un réalisme saisissant qui n’a rien à envier au débarquement Spielbergien de Il Faut Sauver Le Soldat Ryan. Mais, pas de glorification de la guerre, ni des hommes qu’ils l’ont faite, pas de dénigrement non plus, le film qui aurait pu tomber dans le sentimentalisme ou inversement dans la brutalité à outrance évite tous ces pièges. Indigènes se montre juste et d’une grande finesse psychologique du début à la fin.
Indigènes serait il la palme d’or du festival de Cannes 2006 ?
Indigènes
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Captain BiDiBu
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! Ce qui pour l'isntant n'est pas le cas. Pour la palme je sais plus mais ils ont eu des prix d'interprétations ca c'est sur !
"On est des victimes".
Cette phrase à lacon, je l'ai répétée pendant des années avant de me rendre compte que ct pas le cas. En fait je revendiquais une position de victime parce que j'étais paumé, et que ca me donnait un statut social.
Ce genre de films à lacon ne fait que renforcer le communautarisme, ca fait plus de mal que de bien. Y'en a marre du cinéma "clin d'oeuil" ! Banlieue 13 a fait des émules. "Ton grand père a piqué une chèvre au mien. Je n'oublierais pas !". Bravo au réalisateur pour cet encouragement à la haine raciale. Et à renforcer le sentiment que nous autres, les blancs, on est racistes.
A comparer avec un film culte : "Le Pantalon". Ou au récent "Les enfants du pays". C pas le même niveau !
Cette phrase à lacon, je l'ai répétée pendant des années avant de me rendre compte que ct pas le cas. En fait je revendiquais une position de victime parce que j'étais paumé, et que ca me donnait un statut social.
Ce genre de films à lacon ne fait que renforcer le communautarisme, ca fait plus de mal que de bien. Y'en a marre du cinéma "clin d'oeuil" ! Banlieue 13 a fait des émules. "Ton grand père a piqué une chèvre au mien. Je n'oublierais pas !". Bravo au réalisateur pour cet encouragement à la haine raciale. Et à renforcer le sentiment que nous autres, les blancs, on est racistes.
A comparer avec un film culte : "Le Pantalon". Ou au récent "Les enfants du pays". C pas le même niveau !
En mm temps c juste la vérité ^^Nickopol wrote:"On est des victimes".
Cette phrase à lacon, je l'ai répétée pendant des années avant de me rendre compte que ct pas le cas. En fait je revendiquais une position de victime parce que j'étais paumé, et que ca me donnait un statut social.
Ce genre de films à lacon ne fait que renforcer le communautarisme, ca fait plus de mal que de bien. Y'en a marre du cinéma "clin d'oeuil" ! Banlieue 13 a fait des émules. "Ton grand père a piqué une chèvre au mien. Je n'oublierais pas !". Bravo au réalisateur pour cet encouragement à la haine raciale. Et à renforcer le sentiment que nous autres, les blancs, on est racistes.
A comparer avec un film culte : "Le Pantalon". Ou au récent "Les enfants du pays". C pas le même niveau !
Ca fait presque 50 ans. Depuis on a cicatrisé. Ca sert à quoi de rouvrir de vieilles plaies, sinon à faire du mal ?stg44 wrote:ta raison nickopol laissons les dans leurs cases avec leurs 15 euros mensuels de pension militaire
ps:le fait de ne pas en parler et pire que de le denoncer (vivons bien ,vivons cacher ou pire aveugle ,sourd et muet
Pour la pension c'est injuste, oui. Des injustices, il y en a des tas dans la vie, et perso j'en subis de très lourdes.
Mais je choisis de ne pas vous en parler, parce qu'il y a aussi des trucs supers qui m'arrivent, dans cette même vie, et ca compense. Et surtout, quand on passe son temps à chouiner sur son propre sort, on fait le vide autour de soi, car on fait chier les autres.
Maintenant j'aime la vie. Et je comprends à quel point g été con.
Nickopol wrote:Mais je choisis de ne pas vous en parler, parce qu'il y a aussi des trucs supers qui m'arrivent, dans cette même vie, et ca compense. Et surtout, quand on passe son temps à chouiner sur son propre sort, on fait le vide autour de soi, car on fait chier les autres.stg44 wrote:ta raison nickopol laissons les dans leurs cases avec leurs 15 euros mensuels de pension militaire
ps:le fait de ne pas en parler et pire que de le denoncer (vivons bien ,vivons cacher ou pire aveugle ,sourd et muet
Maintenant j'aime la vie. Et je comprends à quel point g été con.
euh ! moi j'aimerai bien que tu nous en parle !
lol+5!Nickopol wrote:Ca fait presque 50 ans. Depuis on a cicatrisé. Ca sert à quoi de rouvrir de vieilles plaies, sinon à faire du mal ?stg44 wrote:ta raison nickopol laissons les dans leurs cases avec leurs 15 euros mensuels de pension militaire
ps:le fait de ne pas en parler et pire que de le denoncer (vivons bien ,vivons cacher ou pire aveugle ,sourd et muet
Pour la pension c'est injuste, oui. Des injustices, il y en a des tas dans la vie, et perso j'en subis de très lourdes.
Mais je choisis de ne pas vous en parler, parce qu'il y a aussi des trucs supers qui m'arrivent, dans cette même vie, et ca compense. Et surtout, quand on passe son temps à chouiner sur son propre sort, on fait le vide autour de soi, car on fait chier les autres.
Maintenant j'aime la vie. Et je comprends à quel point g été con.
Les Indigènes de la République ne se situent pas comme simple mémoire du passé. Nous parlons de mémoire parce que celle-ci continue d'informer le présent et de le construire. Les Indigènes de la République ont ainsi l'ambition de construire une communauté politique réunissant toutes celles et tous ceux qui exigent la fin du traitement exceptionnel des personnes issues de la colonisation. C'est conscience de ce que la mémoire de la colonisation agit sur le présent qui nous fait travailler sur la mémoire et non une nostalgie abstraite du passé.