> > Petit poeme romantique :
> >
> > La premiere fois quand je l'ai vue
> > J'ai tout de suite remarque son regard
> > J'en etais completement hagard
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> > Dans ce jardin du Luxembourg
> > Je me suis dit : il faut que je l'aborde
> > Pour voir si tous les deux on s'accorde
> >
> > J'ai depose mon baluchon
> > Alors j'ai vu tes gros yeux doux
> > J'en suis dev'nu un peu comme fou
> >
> > Quand je t'ai dit que tu me plaisais
> > Que j'aimerais bien te revoir
> > Tu m'as donne rendez-vous le soir
> >
> > Et je t'ai dit Oh Penelope
> > Que tu etais une sacree belle fille
> > Que je t'aimerai toute ma vie
> >
> > Quand dans ce lit de marguerites
> > Tu m'as caresse doucement la tete
> > Ma vie entiere est une fete
> >
> > Et sous les regards de la foule
> > J'ai pose ma main sur ta main
> > Vous voyez bien que ce n'est pas malsain
> >
> > A l'ombre des eucalyptus
> > je t'ai dit : je veux que tu me suives
> > Je te sentais d'humeur lascive
> >
> > Alors comme ca dans les tulipes
> > Tu m'as fait une petite promesse
> > Gage d'affection et de tendresse
> >
> > Si notre amour devait ceder
> > Je n'aurais plus qu'a me faire pretre
> > Je ne pourrais jamais m'en remettre
> >
> > Car si un jour notre amour rouille
> > Je m'en mordrai tres fort les doigts
> > Cherie vraiment je n'aime que toi
> >
> > (Paul Adam)
> >
> > Maintenant changez le mot final du second vers de chaque strophe
> > pour qu'il s'accorde avec le premier vers plutot qu'avec le troisieme
> > vers
> > (vous allez voir, les mots viennent tres vite...)
Et pas de remarques désobligeantes c vous ki modifiez le texte ;))
Ca m'fait marrer :p
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- Maitre Spammeur
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Me fait penser à un poème de Baudelaire que j'adore (cherchez pas, ya po de vanne) :
Vous êtes un beau ciel d'automne, clair et rose!
Mais la tristesse en moi monte comme la mer,
Et laisse, en refluant, sur ma lèvre morose
Le souvenir cuisant de son limon amer.
-Ta main se glisse en vain sur mon sein qui se pâme;
Ce qu'elle cherche, amie, est un lieu saccagé
Par la griffe et la dent féroce de la femme.
Ne cherchez plus mon cœur; les bêtes l'ont mangé.
Mon cœur est un palais flétri par la cohue;
On s'y soûle, on s'y tue, on s'y prend aux cheveux!
-Un parfum nage autour de votre gorge nue!...
O Beauté, dur fléau des âmes, tu le veux!
Avec tes yeux de feu, brillants comme des fêtes,
Calcine ces lambeaux qu'ont épargné les bêtes
(vi, c'est pas pour rien que j'ai pris ce pseudo
